Avec Christelle on se souvient parfaitement de la petite sculpture chez toi, en plâtre, élancée de cette attitude danseur. de cette pose figée et en devenir. Le mouvement se suggère et comme pour tes éclaboussures que cathy pastor a aimées, avec raison et coeur, on retrouve dans le grain du vêtement ce rugueux propice à attendre la pureté de l'élan. La sculpture c'est très difficile ( je sais de quoi je cause; c'était ma spécialité aux beaux-arts...) et les tiennes sont pleines de vie. C'est pas un monument, quoi... autre chose, plus en expansion de vie à travers l'inerte de la matière.